Festival « Lire la Terre et son histoire » du 17 au 21 mai 2010
Pour sa troisième édition, le festival du Livre et des Sciences s’est déroulé à Dakar mais aussi, pour la première fois, à Abidjan. Au programme : des ateliers d’écriture et de lecture, des activités dans le domaine des sciences, des expositions, des conférences et de nombreuses rencontres avec des auteurs, des conteurs, des illustrateurs et des scientifiques...
L’affiche du festival à Dakar |
L’affiche du festival à Abidjan |
Sommaire
Une manifestation organisée à Dakar, Abidjan et dans d’autres villes de l’Afrique de l’Ouest
Les priorités pédagogiques du « Festival du livre »
Les différents partenaires du festival
Lire la Terre et son histoire... à Abidjan
Lire la Terre et son histoire... à Dakar
Une manifestation organisée à Dakar, Abidjan et dans d’autres villes de l’Afrique de l’Ouest
Pour la première année, le festival du Livre et des Sciences s’est élargi, au-delà de Dakar, à d’autres villes de l’Afrique Occidentale. Ainsi à Abidjan, la manifestation s’est déroulée sur plusieurs sites de la capitale ivoirienne, dans les établissements scolaires à programmes français (1er et 2nd degrés), au Centre culturel français, dans les locaux du Groupe de Recherche sur la Tradition Orale et dans des bibliothèques et librairies partenaires.
A Dakar, le festival a eu pour cadre la librairie Aux Quatre Vents et l’Institut français. De nombreuses activités ont également été menées dans les établissements scolaires.
Les priorités pédagogiques du « Festival du livre »
I) Dans le cadre d’une démarche interdisciplinaire, développer les compétences des élèves dans les domaines de la maîtrise de la langue française, des sciences et des arts
- le festival incite les élèves de tous les niveaux à lire des œuvres qui s’inscrivent dans les programmes officiels, tout au long de l’année scolaire ;
– il permet aux classes du cycle III et de 6ème qui participent aux rallyes lecture d’exposer les travaux qu’ils réalisent à partir des œuvres lues sous des formes très variées et originales (affiches, BD, jeux d’écriture et de lecture, films…) ;
– à tous les niveaux, il permet de conduire divers travaux : projets d’écriture, réalisations de panneaux d’exposition, sorties pédagogiques, défis scientifiques, utilisation des ressources du CDI et de la BCD notamment pour le travail de recherche documentaire, lecture de l’image fixe et mobile, travail théâtral et autour du conte... ;
– le festival permet aux élèves de rencontrer des écrivains, des scientifiques, des conteurs et des illustrateurs qui leur font partager leurs connaissances, leur expérience et leurs activités professionnelles ;
- il permet d’inviter des scientifiques qui animent des conférences et des ateliers de mise en pratique ;
– la vocation du festival est d’associer les disciplines littéraires et artistiques et les disciplines scientifiques autour d’un thème fédérateur - cette année, l’histoire de la Terre, la sismologie, le volcanisme, la climatologie - afin de mieux comprendre le monde ;
– il permet le décloisonnement des approches par une double lecture complémentaire du monde ;
– il promeut la culture scientifique en favorisant des projets qui mettent en œuvre la démarche d’investigation et les travaux pratiques à travers des expériences proposées aux élèves du type « main à la pâte » ;
– il permet l’évaluation régulière des élèves car intégrée dans les progressions pédagogiques des différents niveaux ;
– il assure la liaison entre le primaire et le collège et favorise l’échange des pratiques pédagogiques entre enseignants des différents cycles.
II) Ancrer l’enseignement dans une ouverture au pays d’accueil
– le festival permet aux élèves d’établir des contacts et de mener des activités avec des auteurs, des conteurs, des artistes et des scientifiques du pays d’accueil ;
– il incite les élèves à mieux connaître la culture du pays d’accueil et les activités scientifiques qui y sont menées ;
– le festival favorise le rapprochement entre établissements à programmes français et établissements nationaux.
Les différents partenaires du festival
A Dakar
- les établissements à programmes français de Dakar,
– les établissements sénégalais de Dakar,
– l’Inspection des écoles françaises d’Afrique Occidentale,
– le projet Qualité des enseignements en français,
– le Service de coopération et d’action culturelle (Dakar),
– le Ministère sénégalais de l’Education,
– la librairie Aux Quatre Vents (Dakar),
– l’Institut français Léopold Sédar Senghor de Dakar.
Les maîtres d’œuvre du projet
Dominique Broquet, Proviseur de l’Institution Sainte Jeanne d’Arc.
Marilyn Menrath, conseillère pédagogique de Lettres pour les lycées français de Dakar.
Hélène Lagarde, conseillère pédagogique auprès de l’IEN en résidence à Dakar.
Guermia Boubaaya, assistante technique pour l’enseignement des sciences, Projet Qualité.
Véronique Petetin et Oumar Ba, Projet Qualité des enseignements en français.
Alya Jaffar, Librairie Aux Quatre Vents (Dakar).
L’Institut français Léopold Sédar Senghor de Dakar.
A Abidjan
– les établissements à programmes français d’Abidjan et notamment le lycée Blaise Pascal,
– des établissements ivoiriens d’Abidjan,
– l’Inspection des écoles françaises d’Afrique Occidentale (Bureau du Conseiller pédagogique),
– le Centre culturel français,
– le Groupe de Recherche sur la Tradition Orale,
– la station scientifique LAMTO,
– le Service de coopération et d’action culturelle (Abidjan),
– la Librairie de France (Marcory Résidentiel),
– la librairie Arte’Lettres,
– la librairie Média Store,
– l’Étoile du Sud (Treichville),
– la bibliothèque Des livres pour tous (quartier d’Adjamé)
Les maîtres d’œuvre du projet
Tous les membres de la Commission d’organisation du festival dont Jean N’Dry, Patricia Louisy, Mendozza, Christophe Le Bolc’h, Ina Salmon, Marie-Hélène Richard, Koffi Médard Prao, Manfeï Obin, Mory Traore, Dobré Thimothé Ziagnon, Joachim Amoa Ki, Blaise Guei, Laurent Daynac (Conseiller pédagogique).
Sans oublier Louis Honorine, Mariame Meite, Mireille Ahoussi, Berthe Tchuate, Sonia Touré, Esther Thomas, Léon N’Dri, Gastien Ovou, Fanta Tré, Baria Al Othman, Daniel Brassod, Hayat Rustom...
Les responsables de la Librairie de France ;
Le CCF (dont Abou Kamaté)